Chers internautes, inconditionnels adeptes de la touche « escape », des haltes contre Olènde, et autres faux fuyants de la réalité virtuelle.
Il est bien vrai qu’il y a tant de choses à dire que parfois l’on se perd dans le dédale de ces pensées qui se succèdent, tournant de plus en plus en plus vite, l’une après l’autre sans réussir à trouver le chemin vers cette cohérence expressive supposée naître au bout des terminaisons nerveuses de ces excroissances terminales qui pianotent sur les touches d’un clavier amorphe et dont les gnous ignorent encore leur appellation de « doigts »…allez savoir pourquoi.
J’ai des trucs bizarres qui me traversent la tête…enfin…je veux dire des pensées bizarres. Tenez ! Personne n’oblige un blogueur à bloguer et normalement donc il ne devrait pas se retrouver confronté à ce sentiment d’impuissance que procurent les affres de la page blanche.
Une pensée entraînant l’autre (c’est le tribut de l’intelligence), l’écriture serait-elle donc jouissance ? Peut-être, si cette dernière est bien menée de manière à pouvoir satisfaire l’autre…cet enfoiré de lecteur en bout de chaîne… au bout des doigts. Chaque commentaire fera donc office de râle et plus vous saurez y faire avec les doigts et plus de râles il y aura et moins vous saurez y faire et moins de râles il y aura et ce jusqu’au ground 0, ramenant l’entreprise blogging à un acte masturbatoire...
kb...avé le petit doigt
lundi 1 octobre 2007
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